Christiane Vulpius
De la Rollplatz, il n’y a que quelques pas pour arriver au cimetière [Saint] Jacques, le plus ancien de la ville de Weimar. La porte d’entrée entourée de sa maçonnerie blanche est ouverte ; le matin promet une belle journée d’été. Peu après, à proximité du mur sud de l’église, je me trouve devant une plaque tombale embrassée par un lierre. Je m’y suis rendue, parce qu’une rose rouge est posée sur la pierre et à l’improviste j’ai découvert la tombe de Christiane Vulpius — la Christiane de Goethe ! Elle n’avait que 51 ans à sa mort. Pensive, je lis les vers de Goethe :
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